Microdosing de THCV et schizophrénie : effets positifs et perspectives

Microdosing de THCV et schizophrénie : effets positifs et perspectives

Microdosing de THCV et schizophrénie : effets positifs et perspectives

La schizophrénie est un trouble psychiatrique complexe qui affecte la pensée, les émotions et le comportement. Face aux limites des traitements classiques, certaines recherches s’intéressent aux cannabinoïdes, notamment au THCV, un composé du cannabis aux propriétés distinctes du THC.

Qu’est-ce que le THCV ?

Le THCV (Tétrahydrocannabivarine) est un cannabinoïde présent en faible quantité dans certaines variétés de cannabis. Contrairement au THC, il ne provoque pas d’effet psychoactif fort et pourrait même moduler certains effets du THC. Son potentiel thérapeutique intéresse particulièrement la recherche pour ses effets sur le système nerveux central.

Le microdosing de THCV : qu’est-ce que c’est ?

Le microdosing consiste à prendre de très faibles doses de THCV, suffisantes pour ressentir des bienfaits sans effets secondaires indésirables. Cette approche est utilisée pour maximiser les avantages thérapeutiques tout en minimisant les risques.

Effets positifs du microdosing de THCV sur la schizophrénie

  • Réduction des symptômes négatifs : Le THCV pourrait aider à atténuer l’apathie, le retrait social et le manque de motivation, des symptômes souvent difficiles à traiter chez les patients schizophrènes.
  • Amélioration cognitive : En stimulant légèrement le système nerveux, le THCV peut favoriser la concentration, la mémoire et les fonctions exécutives.
  • Effet anxiolytique : Il pourrait réduire l’anxiété sans provoquer d’effets psychotropes, ce qui est crucial pour éviter d’aggraver la maladie.
  • Absence d’effets psychotiques : Contrairement au THC, le THCV en microdose ne déclenche pas de crises psychotiques, ce qui le rend plus sûr pour cette population.
  • Potentiel soutien aux traitements : Le THCV pourrait aider à réduire certains effets secondaires des antipsychotiques, comme la fatigue ou l’apathie.
« Le THCV ne remplace pas les traitements médicaux, mais il offre une piste prometteuse à explorer avec prudence et sous supervision médicale. »

Précautions et recommandations

Il est essentiel de ne pas s’auto-médicamenter, surtout avec des troubles psychiatriques graves comme la schizophrénie. Le THCV doit être utilisé sous la supervision d’un professionnel de santé qualifié. La recherche est encore en cours, et les effets peuvent varier selon les individus.

Conclusion

Le microdosing de THCV offre des perspectives intéressantes pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de schizophrénie, notamment par la réduction des symptômes négatifs et l’amélioration cognitive. Toutefois, cette voie reste expérimentale et doit être abordée avec prudence.

Psychiatres surchargés : quand la médecine devient un système politique et économique

Psychiatres surchargés : quand la médecine devient un système politique et économique

Nous vivons une époque anxiogène sans précédent, où les troubles psychiques explosent, exacerbés par une société en crise. Dans ce contexte, les psychiatres sont de plus en plus sollicités. Mais la réalité derrière cette demande grandissante est sombre : ces professionnels sont débordés, épuisés, et souvent démunis face à un système médical qui ne leur laisse guère de place pour exercer un véritable soin.

Une surcharge de travail et un manque de temps

Les psychiatres croulent sous les consultations, les dossiers et les obligations administratives. Cette pression énorme, cumulée aux contraintes institutionnelles, limite leur capacité à s’informer, se former, et expérimenter des approches innovantes, pourtant indispensables dans un domaine aussi complexe.

« Entre leur vie personnelle, les contraintes administratives, et les attentes du système, beaucoup de psychiatres n’ont plus le temps d’apprendre ou d’adapter leurs pratiques selon les dernières avancées scientifiques. »

Le poids de Big Pharma dans les prescriptions

Ce qui aggrave la situation, c’est l’omniprésence de l’industrie pharmaceutique, véritable système de ponzi installé en France. Sous la pression des laboratoires, les prescriptions se font souvent en priorité avec des médicaments issus de grands groupes, au détriment parfois de traitements plus naturels ou innovants.

Le ministre de la Santé et les instances de régulation entretiennent ce cercle vicieux, limitant l’autonomie des médecins et enfermant la psychiatrie dans un modèle économique rigide et peu flexible.

Des erreurs médicales et scientifiques reconnues

Plusieurs psychiatres et chercheurs ont reconnu s’être trompés, parfois plusieurs fois, dans la compréhension et le traitement de certaines pathologies :

  • Surprescription massive d’antipsychotiques malgré leurs effets secondaires délétères.
  • Négligence des approches complémentaires telles que les thérapies naturelles ou alternatives.
  • Sous-estimation des facteurs sociaux et environnementaux dans le déclenchement des troubles.
« La science avance, mais le système médical reste souvent figé, empêchant une véritable évolution des pratiques et une prise en charge plus humaine. »

Une politique de santé déconnectée du soin

Au final, ce n’est plus la santé du patient qui prime, mais les intérêts politiques et financiers. Les psychiatres, bien que formés pour soigner, se retrouvent prisonniers d’un système où la politique de santé dicte les règles, souvent à l’encontre du bien-être des malades.

Ce constat amer pousse beaucoup de patients à se tourner vers des alternatives, souvent naturelles, face à un système qui ne répond plus à leurs attentes ni à leurs besoins.






Psychiatres surchargés : quand la médecine devient un système politique et économique

Psychiatres surchargés : quand la médecine devient un système politique et économique

Nous vivons une époque anxiogène sans précédent, où les troubles psychiques explosent, exacerbés par une société en crise. Dans ce contexte, les psychiatres sont de plus en plus sollicités. Mais la réalité derrière cette demande grandissante est sombre : ces professionnels sont débordés, épuisés, et souvent démunis face à un système médical qui ne leur laisse guère de place pour exercer un véritable soin.

Une surcharge de travail et un manque de temps

Les psychiatres croulent sous les consultations, les dossiers et les obligations administratives. Cette pression énorme, cumulée aux contraintes institutionnelles, limite leur capacité à s’informer, se former, et expérimenter des approches innovantes, pourtant indispensables dans un domaine aussi complexe.

« Entre leur vie personnelle, les contraintes administratives, et les attentes du système, beaucoup de psychiatres n’ont plus le temps d’apprendre ou d’adapter leurs pratiques selon les dernières avancées scientifiques. »

Le poids de Big Pharma dans les prescriptions

Ce qui aggrave la situation, c’est l’omniprésence de l’industrie pharmaceutique, véritable système de ponzi installé en France. Sous la pression des laboratoires, les prescriptions se font souvent en priorité avec des médicaments issus de grands groupes, au détriment parfois de traitements plus naturels ou innovants.

Le ministre de la Santé et les instances de régulation entretiennent ce cercle vicieux, limitant l’autonomie des médecins et enfermant la psychiatrie dans un modèle économique rigide et peu flexible.

Scandales et erreurs politiques

Plusieurs personnalités du Ministère de la Santé ont été vivement critiquées pour leur gestion de la santé mentale, contribuant à une défiance grandissante :

  • En 2011, la ministre Roselyne Bachelot a été accusée d’ignorer les alertes concernant certains médicaments psychiatriques, alors que des controverses autour des effets secondaires graves étaient déjà connues.
  • Plus récemment, Olivier Véran, ministre de la Santé durant la crise sanitaire, a été critiqué pour sa communication chaotique, impactant la confiance des patients et professionnels dans le système.
  • En 2022, la polémique autour de la réforme des hôpitaux psychiatriques a montré une déconnexion entre les décisions politiques et les besoins réels du terrain, provoquant grèves et manifestations chez les soignants.

« Nous n’avons pas toujours eu les moyens, ni les informations nécessaires pour agir au mieux, mais la politique ne s’en préoccupe pas vraiment. » — témoignage d’un psychiatre hospitalier.

Ces scandales révèlent un système où la santé mentale est parfois sacrifiée sur l’autel des intérêts économiques et politiques, au mépris du bien-être des patients.

Des erreurs médicales et scientifiques reconnues

Plusieurs psychiatres et chercheurs ont reconnu s’être trompés, parfois plusieurs fois, dans la compréhension et le traitement de certaines pathologies :

  • Surprescription massive d’antipsychotiques malgré leurs effets secondaires délétères.
  • Négligence des approches complémentaires telles que les thérapies naturelles ou alternatives.
  • Sous-estimation des facteurs sociaux et environnementaux dans le déclenchement des troubles.

« La science avance, mais le système médical reste souvent figé, empêchant une véritable évolution des pratiques et une prise en charge plus humaine. »

Une politique de santé déconnectée du soin

Au final, ce n’est plus la santé du patient qui prime, mais les intérêts politiques et financiers. Les psychiatres, bien que formés pour soigner, se retrouvent prisonniers d’un système où la politique de santé dicte les règles, souvent à l’encontre du bien-être des malades.

Ce constat amer pousse beaucoup de patients à se tourner vers des alternatives, souvent naturelles, face à un système qui ne répond plus à leurs attentes ni à leurs besoins.

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